Une Promesse bien tenue.

L’histoire que je vais vous compter s’est passée il y a bien longtemps alors que la guerre faisait rage :

« Tout commença le 26 mai 1942, comme je vous le disais la guerre avait tout ravagé, même dans les plus lointaines contrées de mon cher pays, la France. Elle était assaillie par les allemands. Dans un petit village, l’un des premiers à avoir été touché par ce fléau sans nom ; beaucoup avaient péri sous les coups de feu ennemis, malgré cela certains avaient pu y réchapper, dont le jeune Alexandro Perez Sang de son surnom Alex.

Le jeune garçon avait perdu ses deux parents et tous ses frères et sœurs, lors de cette guerre impitoyable, ou à cause du choléra, qui avait touché cette région quelques mois plus tôt. Dans ce monde de désolation seul restait Alexandro, assit, sur la marche qui était jadis l’entrée de sa demeure. Il se souvenait de tous les moments qu’il avait passé, assit là, à équeuter les haricots avec sa mère et ses frères et sœurs, lorsqu’il ne travaillait pas dans les champs avec son père.

Alexandro Perez Sang  dont les parents avaient emmigrés d’Espagne en espérant vivre une vie meilleure en France, était l’aîné d’une famille de cinq enfants. Il était beau, fort intelligent, ce qui surprenait tout le village car il n’était allé à l’école seulement pour apprendre à lire, compter et écrire quelques mots. Il avait une quinzaine, d’années pour la plus-part passées dans les champs. Ses parents lui disaient qu’il accomplirait de grandes choses dans sa vie. Et s’est à cela que se raccrochait Alex. Malgré tout l’amour qu’il portait à cette demeure, tous les merveilleux souvenirs qu’elle lui rappelait, il décida de la quitter car elle lui faisait aussi se souvenir de douloureux instants.

Sark, le village dans lequel vivait Alex n’était plus qu’un champ de ruines sans vie et sans une once de bonheur. Ce village, situé dans Sud-ouest de la France, n’était qu’à une trentaine de kilomètres en amont de l’océan. Alexandro se mit en tête de parcourir cette distance pour rejoindre cette magnifique étendue d’eau sur le dos de son cheval, ses parents n’ayant jamais pu l’emmener là bas bien qu’ils lui en aient beaucoup parlé. Ils lui avaient raconté que celle-ci menait à n’importe qu’elle destination, c’est pour cela qu’Alex voulait s’y rendre.

Après plusieurs heures de trop, - ce qui n’est vraiment pas très agréable, croyez en mon expérience ! - Il s’arrêta pour se reposer, - même si c’est le cheval qui trotte c’est un exercice exténuant.- Il ne dut pas attendre bien longtemps avant de s’endormir. Quelques heures plus tard, il se réveilla, ne pouvant plus supporter les incessants cauchemars qu’il était entrain de vivre. Il revoyait les soldats arriver dans son village et y tuer tous les villageois sans avoir pitié des femmes, des enfants, petits ou grands…

Il se remit en selle, et partit au galop pour essayer de tout oublier. Il s’arrêta et se mit à pleurer, pleurer, jusqu’à ne plus avoir une seule larme à verser. Il descendit de son cheval et courut, courut jusqu’à l’épuisement total. De peur de refaire des cauchemars, il ne voulut dormir.

Il était arrivé dans un petit village qui avait été lui aussi dévasté par la guerre. Il marchait le long des maisons criblées de balles et des corps qui avaient été empilés. Une fosse près de ceux-ci avait était creusée, sûrement pour les y enterrer. Alex regardait ce monde de désolation lorsqu’il fût arraché de ses pensés par le hennissement de son cheval. Il se retourna et vit son cheval partir au galop avec sur son dos un homme. Le jeune homme se mît à lui courir après, même si il savait qu’il n’avait aucune chance de le rattraper.

Alex, fou de rage, se mît à taper sur toutes les maisons - si on peut appeler quatre murs tenu debout par l’opération du Saint-Esprit une maison.- Tous les cailloux qui croisaient son chemin se faisaient expédier à Essaouira. Il avait laissé ses quelques derniers restes et sa carte sur son cheval. Ne sachant plus quoi faire, désespéré, perdu, il se mît à courir, courir; on ne sait pourquoi, et là comble du malheur il s’effondra par terre. Il crut tomber de haut. Il était tombé d’à peu près deux mètres, peut-être plus. Le sol s’était écroulé sous ses pieds. Prit de panique il sauta, sauta, en vain. Il essayait de voir le sol. Il ne faisait que de s’épuiser pour rien. Il s’assit et se mît à gémir. Il y faisait noir, heureusement pour Alex de la lumière jaillissait du trou.

Il vit une sorte de sentier. Il avança avec prudence dans ce lugubre endroit. Plus il s’enfonçait, plus il sentait la lourdeur effroyable de ce lieu lui peser. Il était tout de même effrayé par tous les bruits qu’il entendait. Ce n’est pas les bruits qu’il entendait en eux-même, mais leur provenance qui lui faisait peur. Il avait beau réfléchir, se creuser les méninges, il ne trouvait pas d’où ils pouvaient venir.

Un courant d’air se fit sentir sur le visage d’Alex. Il aurait dû parvenir dans son dos, mais à sa grande surprise, il lui parvenait de devant. Il se demanda s’y il n’avait pas tourné en rond. Il s’arrêta un instant pour réfléchir et se reposer. Il vint le moment de la question cruciale : « devais-je continuer ou me résigner à rebrousser chemin ? » Pour répondre à cette question, il pesa le pour et le contre. Malgré tous les « contre » (rebrousser chemin) il décida de continuer car il avait plus peur des soldats qui couraient au-dessus de sa tête que de tout ce qu’il pourrait y trouvait à la provenance du courant d’air. Déjà que l’obscurité était forte, elle avançait telle la marée avance au grès des heures de la journée. Il se mit à courir, courir pour échapper à cette inévitable évidence. Par le plus grand des malheurs, encore une fois, il se tapa la tête contre un mur de terre et il s‘évanouit.

Il se réveilla dans un lit, un lit fait de lianes, feuilles et autres élément naturels. Il crût rêver lorsqu’il reprit ses esprits, ce qu’il vit était extraordinaire : il était dans un paysage paradisiaque, les oiseaux chantaient au gré de leur envie, le feuillage de ces arbres inconnus remuait au gré du vent, leurs feuilles, leurs branches, leurs troncs ; tout ce qui les composait étés de toutes les couleurs, certains étaient bleus, rouges d’autres noirs ou encore de jaunes, toutes ces couleurs se mariaient tellement bien ensembles que l’on aurait dit un arc-en-ciel tombé du ciel. Au loin on pouvait entendre le ruissellement apaisant d’une petite rivière. Tout ce paysage créait une atmosphère de détente et de bien-être. Les animaux étaient, tout comme la flore, extraordinaires et d’un tout autre monde : les oiseaux qui chantaient il y a encore quelques instants avaient sorti les crocs. Ce n’est pas une expression ils avaient vraiment des crocs sortis d’on ne sait où, peut-être de leurs becs ? Je vous l’accorde ce n’est pas naturel, mais bon autant ne pas vous mentir. Et dès qu’un petit animal passait à leur portée, par mégarde, c’en était fini pour eux. Certaines plantes leur ressemblaient beaucoup, sur le point de leur capacité à se faire passer pour inoffensives, alors qu’elles étaient tout aussi dangereuses que ces oiseaux. Et dés qu’un animal passait à leurs côtés il était immédiatement dévoré. Les arbres quand à eux étaient, selon leur apparence, inoffensifs, ils laissaient se reposer sur leurs branches tous les animaux qui le désiraient

Alex se leva, un peu déboussolé (ça peut se comprendre…) Il se demandait s’il n’était pas mort, s’il n’était pas au paradis. Il parlait seul, à voie haute, jusqu’à ce que…

« Si, je t’assure c’est tout à fait possible mon petit, ce que tout vois n’est pas le paradis loin de là mon jeune ami ! » Alexandro sursauta.

Sorti de nulle part, un homme, plus précisément un homme de Cro-Magnon se tenait de derrière lui. Cet homme devait avoir un peu plus d’une quarantaine d’année, dans sa main droite il avait une massue faite, vraisemblablement, du bois d’un de ces arbres que l’on peut apercevoir à l’horizon. L’homme avait les cheveux longs et bruns, une barbe noire toute emmêlée. Alex n’avait jamais vu ce qui lui servait d’habits. Dans sa main gauche il tenait une chose méconnaissable.

« Tu à faim ? Demanda l’homme à la massue. Alex bredouilla un petit oui inaudible à l’oreille humaine.

- Bon disons que c’est un oui ! Ne me dis pas que tu à peur de moi !? L’homme ne lui laissa pas le temps de répondre et il enchaîna.

- Tu à de la chance j’ai attrapé un flatir, c’est comme cela que j’ai appelé ces animaux.

- Ca un animal !? Répondit Alex sous le coup de l’étonnement. Veuillez m’excuser pour mon intervention qui n’était pas nécessaire et déplacée ! Mais est-ce vraiment un animal ? Où sommes-nous ? Comment m’avez-vous trouvé ? Pourquoi m’avez-vous amené ici ? Répondez-moi je vous en pris, s’il vous plaît !

- Si tu veux que je te réponde il faut que tu me laisses parler petit homme !

- Oui veuillez m’excuser de nouveau ! Répondit Alexandro.

- Bon tu vas me laisser parler oui ? Pour répondre à tes questions : oui c’est un animal, nous sommes dans Les Parafers, c’est cela que j’ai appelé cet endroit, je t’ai trouvé dans les grottes sans fin, et je t’ai emmené ici car comme leur nom l’indique si tu ne connais pas ces grottes, et même si tu les connais, c’est très facile de s’y perdre. Dis donc tu parles beaucoup toi.

- Oui on me le dit souvent ! Mais pourquoi avez-vous appelé cet endroit de rêves Les Parafers ? Demanda sans attendre Alexandro

- C’est bien ce que je dis tu parles beaucoup ! J’ai appelé cet endroit Les Parafers, car cet endroit peut être tant tôt le Paradis et une seconde plus tard il peut ressembler aux Enfers. En arrivant ici tu croyais savoir ce qu’était la souffrance, la peur, la mort, le danger... Mais prépare-toi, ici tu peux oublier tout ce que l’on t’a appris car la seule loi ici c’est : sauve ta vie et cours. Tant que tu n’as pas vécu ici tu ne sais rien de ces émotions ! »

La révélation que venait de lui faire l’homme fut, pour lui comme un coût de massue sur sa tête, car il ne parla plus pour le plus grand bonheur de l’homme, mais l’homme dut regretter la façon brutale dont il lui avait annoncé cela car on pouvait lire dans le regard d’Alex la peur qui l’habitait.

« Tu sais, comme je te le disais c’est aussi un endroit idyllique. Si tu regardes cet endroit dans les yeux tu pourras y découvrir toute la beauté d’une terre nouvelle méconnue de tous. Le monde extérieur peut te l’envier. Il faut que tu y crois tout simplement. Mais tu peux aussi croire que je suis fou tu ne seras pas le premier. En disant cette dernière phrase sa voix baissa, comme s’il était triste. »

Après quelques minutes où le jeune homme parut troublé, il revint à lui. Dans son regard on lisait de moins en moins cette peur mais elle était toujours là. Malgré les beaux efforts de l’homme, Alex resta muet. L’homme se sentait de plus en plus mal à cause du malaise qu’il avait créé. Ce silence fut enfin interrompu par l’intervention d’Alex.

« Si seulement je pouvais vous croire ; mais je n’y arrive pas. 

-Bon si ça peut aider puisque je ne peux pas te raisonner, alors, sache que mon nom est Gérald, enfin quelque chose comme ça. Je dois avoir quarante-cinq, quarante-six, quarante-sept ans enfin c’est vers la cinquantaine. Tu sais ça fait tellement longtemps que je suis là que je ne compte plus mon cher enfant. Après une déglutition difficile et en voyant la tête que faisait Alex il dit : Oups je crois que je n’aurai jamais dû dire ça.

- Oui je crois que vous n’auriez pas dut dire ça  mais vous savez je n’ai plus rien à perdre à présent plus personne ne m’attend à la maison alors. Dit Alex. Mais il ne put cacher sa tristesse car on vit une larme couler sur sa joue.

- Bon je ne pensais pas que tu te réveillerais aussi vite donc je n’ai pas assez chassé. Après quelques secondes de réflexion il dit :  Bon puisque nous sommes là alors autant que tu apprennes le plus vite possible la chasse ici et comment tuer les animaux en règle. Tout d’abord donne moi ton nom sans en faire un roman.

- Je m’appelle Alexandro Perez Sang. Monsieur Gérald.

- Heureusement que j’avais dit sans faire un roman.

- Mais je n’ai pas fait de rom…

- On n’a pas le temps pour les blâmes alors en avant et plus vite que ça.»

Aussitôt dit aussitôt fait. Ils partirent comme deux compères qui se connaissaient depuis de nombreuses années. Lorsqu’Alex entra dans cette forêt il eut les yeux emplis d’émerveillement jamais il n’eu pareil étonnement dans le regard d’un garçon de son âge. La joie se voyait sur son visage. Il se mît à siffloter, ce qui ne plut guère à Gérald qui se retourna et dit :

«  Bon sang tu va te taire oui !? Tu ne vois pas que… Oh non !!!

- Que se passe-t-il ?

- Tu te souviens de la règle que je t’ai apprise ? Dit Gérald tout doucement.

- Oui : « sauve ta vie et cours » ! Dit Alex encore plus doucement que Gérald.

- Et bien il est temps d’appliquer mon jeune ami. COURS LE PLUS VITE QUE TU PEUX, NE TE RETOURNE PAS ET NE T’ARRÊTE PAS.

Alex se mit à courir, Gérald le talonnait. Alex ne pût s’empêcher de désobéir et il vit la plus belle créature qui puisse exister sur et sous terre. C’était une femme plus belle que n’importe quelle autre, ses longs cheveux or volaient au vent tel la crinière d’un cheval sauvage galopant dans les plaines sauvages. Sa peau était immaculée on aurait dit celle de blanche neige. Cette beauté sans égale ne devait pas être fuie mais plutôt accueillie enfin s’est ce que devait penser Alex car il s’arrêta. Gérald l’attrapa par le bras et le tira jusqu’à que ce dernier détourne son regard de cette jeune femme.

- Mais pourquoi faites-vous cela, vous voyez nous ne sommes pas les seuls à être coincés ici. Essaya d’articuler Alexandro.

- Mon jeune ami que vois-tu ? Demanda Gérald.

- Je vois une forêt avec des arbres de toutes les cou…Mais il fût coupé avant de pouvoir finir sa phrase par Gérald

- Non je parle de la créature qui nous poursuit.

- Ah  je vois la plus belle femme qui puisse exister, elle est comme sortie d’un rêve. Dit Alex entre ses respirations, car la course c’est épuisant, il dit cela comme s’il rêvait les yeux ouverts.

- D’accord tout s’explique. Cette femme que tu crois voir est en fait un monstre qui peut te faire voir tout ce que tu veux. Son but est de t’attirer vers lui pour pouvoir te dévorer. »

Mais le monstre se rapprochait de plus en plus et ils avaient perdu leur avance, quand Alex s’était arrêté. Ils commençaient à fatiguer. Et là, la créature sauta sur Alex ; le temps qu’il se rende compte de ce qui lui arrivé la bête essayait déjà de le mordre. C’est à ce moment qu’il vît le vrai visage de l’animal. Cette chose était d’un bleu émeraude comme aucun autre, il avait un corps imposant et luisant d’une substance jaunâtre ; il était très lourd. Il avait quatre ou cinq yeux rouge-orangé qui fixaient la carotide et la jugulaire d’Alex. Le premier réflexe d’Alex fut de tambouriner sur la cage thoracique de l’animal, ça ne semblait pas le déranger mais plutôt le tapoter. Le monstre tourna la tête et laissa libre Alex. Le garçon se demanda pourquoi, des tas d’explications se formèrent en une fraction de seconde dans le cerveau de ce dernier. Se retournant pour voir quelle hypothèse était la bonne. Il faillit tomber lorsqu’il vit Gérald faisant face au monstre et le menaçant avec sa massue. Si se n’aurait pas était dans de telles circonstances je pence qu’Alexandro se tordrait de rire par terre. Ce que redoutait le plus Alex ne put échapper à la réalité. Le monstre se rua sur Gérald et le mordit avec une violence sans égale naturel ; et le monstre partit, Alex courut auprès de son ami.

«  Gérald, ne bougez pas ! Dit-il d’une voie autoritaire. Avec mes habits je vais compresser vos blessures. Aussitôt dit, aussitôt fait. Vous ne m’aviez pas dit qu’il nous attaquer pour nous manger ?

- Si, mon cher ami, mais c’était une femelle qui est allée chercher ses petits. Ils seront bientôt de retour alors va t’en d’ici pendant que tu peux sauver ta vie. Mon cher enfant tu as encore une vie merveilleuse à construire que ce soit ici ou ailleurs. Pars, pars ! Lorsqu’il dit cette dernière phrase, sa voie se mit à chevroter.

- Non je ne vous abandonnerai pas comme tant de personnes ont dut le faire avec vous ! Je vais vous porter. Allez venez.

- Mon cher enfant j’ai une dernière volonté.

- Non car vous ne mourez pas ni ici ni aujourd’hui ! Car je ne survivrai pas sans vous.

- Si tu m’emmènes avec toi tu me verras mourir lentement et dans la douleur alors écoute-moi. Je veux que tu sortes de cet endroit et que tu vives heureux avec une jolie femme que tu aimeras et tu auras plein d’enfants avec cette femme et maintenant va t’en ! VA-T’EN !!!!

- Je vous jure de sortir de cet endroit et que je ferai tout ce que vous m’avez dit. Mon aîné s’appellera Gérald, j’en fais la promesse. »

Et le jeune homme partit en adressant un dernier au-revoir à Gérald. Des larmes coulèrent sur chacune des joues de Gérald il en fit de même pour Alexandro. Alex se mit à courir, et courir et il sortit de cette forêt de malheurs. Il se mit en tête de retourner dans les grottes sans fin pour essayer de se souvenir du chemin qu’il avait parcouru. Il entra, il ne reconnaissait rien mais c’était normal car c’était la partie du chemin qu’il avait parcouru en étant évanoui. Il se souvenait des bruits qu’il entendait, la peur qu’ils lui procuraient. Il sentait le parfum embaumant des roses.

« - Ah le parfum des roses. Le parfum des roses. LE PARFUM DES ROSES !!!!!! »

Jamais aucun homme n’avait ressentit pareille joie. Il sentait une odeur qui lui était familière, il se souvenait de cet endroit des moments de terreur qui s’y étaient passés. Et là, droit devant lui, un puits de lumière. Mais un petit détail qui avait son importance lui avait échappé : il était trop petit pour pouvoir en sortir. Il se lamentait mais avait trop peur d’appeler à l’aide. Mais comme si le destin voulait qu’il vive et qu’il devienne la fierté de Gérald, des pierres avaient été jetées dans le trou. Il les empila et il put enfin sortir. »

« - Moi je n’y crois pas du tout à cette histoire.

- Oh mon garçon je peux t’assurer qu’elle s’est vraiment passée car j’y étais.

- Monsieur, monsieur comment vous appelez-vous ? Est-ce qu’il s’est marié avec une jeune femme et est-ce qu’il eu des enfants ?

- Je m’appelle Alexandro Perez Sang, oui je me suis marié avec une jolie et jeune femme et mon aîné, comme je l’avais promit s’appelle Gérald. »

 

                                                                                                         Justine.