Sa Première Aventure.

En 1850, à Londres vivait Arabella, dans une splendide maison. C'était une magnifique jeune femme. Son visage rond était entouré d'une épaisse masse de cheveux ondulés, de la couleur du blé.Ses yeux reflétaient l'océan en un bleu-vert. Juste en-dessous de son nez, ni gros, ni fin, se trouvait des lèvres magnifiques. Très intelligente, elle était la fille d'un riche homme d'affaire, elle rêvait d' exploration et de découverte bien, que ce domaine ne soit réservé à l'époque qu'aux hommes.

La presse avait annoncé le départ d'un grand navire en direction de terres inconnue. Par l'intermédiaire d'une pensée, elle se mit en tête de faire partie du voyage. D'habitude vêtue de robes à crinoline, elle s'accoutra d'un pantalon et d'un pull pour le trajet. Après quelques hésitation, elle se lança et se cacha dans un tonneau qui, empester l'alcool. À première vue c'était un ancien bateau qui était très mal entretenu, les voiles étaient couvertes de trous et le bois rongé par les termites. Après quelques jours, les navigateurs semblaient saouls et l'ambiance était au combat. Son rêve éa nourriture et chaque matin elle entendait le cuisinier se lamenter de ne plus retrouver ses vivres.

Un soir, une tempête éclata, le tonneau vacilla par ci par là et finit par tomber dans l'eau. La mer faisait des bruits épouvantables, comme si des torrents d'eau, mêlés à des tonnerres avaient roulé du haut des montagnes. Les vents dépassaient l'extrême et l'eau était glacée. L'obscurité cachait tout repère et comme cela ne suffisait pas, Arabella ne savait pas nager. Son désespoir était immense, en un millième de seconde tout ses souvenirs avaient fait leur aptait entrain de se transformer en un véritable cauchemar. Pendant plus de deux mois, elle dut supporter cette situation, de plus elle sortait toutes les nuits pour voler de lparition. Son dernier souffle était sans doute arrivé mais par chance elle s'accrocha à un énorme bout de bois et se laissa entraîner par un courant déchaîné. Son sort était a présent aux mains des vagues.

Quelque temps après, elle s'évanouit, sans doute parce qu'elle était épuisée. Quand elle reprit ses esprits, elle se trouva sur une vaste île qui ne portait aucune trace de civilisation. C'était un lieu de toute beauté, le sable fin était infiniment doux. Aucune ordure ne traînait ici, ou logeaient quelques crustacés. L'eau était de couleur turquoise et les vagues formaient des écumes blanches. L'odeur du sel marin flottait dans la légère brise qui voilait la plage et son sable. Le ciel bleu ne faisait qu'augmenter l'impression de beauté du paysage. Plus loin une forêt dense recouvrait toute la faune et la flore. Son bonheur exotique se fit sentir par son sourire. Fascinée, elle décida de partir à la découverte de l'île, afin de trouver quelque chose, qui pourrait affaiblir, sa faim, sa soif et sa curiosité.

En chemin, le changement de décor était flagrant, tout était sombre et humide, le feuillage cachait en grande partie le ciel, elle se croyait en pleine nuit tant la végétation était dense. Les arbres à l'aspect fantomatique abritaient des créatures de toutes sortes et de toutes les couleurs. Des odeurs de pourriture se faisaient sentir et des bruits incongrus se faisaient entendre. Des branches mortes craquaient au sol tandis qu'une épaisse brume rendait le lieu étouffant. Sur le coin, un énorme guépard l'observait prêt à l'attaquer. L'ayant vu Arabella courut avec allure et vitesse pour finalement tomber dans un trou qui semblait avoir était creusé.

Prise au piège avec un guépard prêt à l'attaquer si elle sortait, on pouvait prévoir que ce trou serait son tombeau. Un long moment elle réfléchit à un plan pour finalement arriver à la conclusion suivante:<<un guépard c'est comme un chat>>. Elle se dévêtit et forma une pelote avec ses vêtements puis elle la lança et n'attendit pas plus d'une minute que le guépard jouait déjà avec. Profitant de cette situation elle fabriqua une échelle de fortune avec les bouts de bois provenant du trou. Une fois sortit et pour la deuxième fois, elle courut avec allure et vitesse en se dirigeant vers la plage.

Épuisée et affamée elle s'allongea sur le sable chaud et admira le ciel bleu, les nuages blancs, les oiseaux volants joyeusement et le son de la mer qui était si apaisant. Elle sentit que son manque d'eau et de nourriture allait lui être fatal mais peu importe si elle devait partit, elle avaitexaucé son vœu d'exploration et de découverte. Au loin, une silhouette de femme s'approchait. Ses longs cheveux tressés était magnifique, ses vêtements faisaient rappeler le coté indien de sa peau, ses yeux qui étaient marron lui allaient parfaitement. Afin d'aider Arabella, elle l'a porta et l'emmena loin.

Quand elle reprit ses esprit, elle se trouva allongée sur un lit de paille qui se trouvait en plein centre d'un très grand tipi. Pendant son rétablissement elle raconta à la jeune femme, qui se prénommait Aida, son histoire. L'ayant écouté attentivement elle s'excusa car le trou avait étaient creusé par sa tribu, afin de capture ce fameux guépard qui faisait rage. Au départ, elle se fit leur invité, elle s'habitua à leur coutumes et leurs traditions puis, elle se résigna à faire partie de leur tribu, dans l'espoir de retrouver un jour sa famille.

                    Rime

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