Aurélie venait de finir sa valise et partait à l'aéroport. Quand elle arriva, elle survolait le pacifique. En regardant par la fenêtre, elle entendit un bruit si fort que la panique gagna l'avion. Une aile de l'appareil était sur le point de se rompre. L'avion descendit si vite qu'il heurta un rocher et Aurélie fût éjectée de l'avion. Elle atterrit sur une île...
[...]J'étais si heureuse qu’Aurélie et moi ayons trouvé un endroit, où il y avait des fruits, un lac qui était alimenté par une cascade. Nous voulûmes visiter les alentours, alors nous arrivâmes au point de départ, nous trouvâmes un lac, rempli de poissons. Nous décidâmes de continuer notre chemin et de revenir y pêcher le lendemain. Nous décidâmes de donner un nom à cette partie de l'île nous l'appelâmes «le paradis». Nous cherchâmes pendant deux heures un endroit pour dormir, nous trouvâmes un arbre creux, de grandes feuilles nous servir de matelas et de couvertures. Nous étions en pleine forme quand nous décidâmes de construire une cabane dans un arbre. Une heure plus tard, nous avions fini et fait un circuit pour aller chercher des fruits. Quand nous finîmes la récolte et que nous fûmes de retour à la cabane, nous entendîmes un bruit effroyable. Nous regardâmes par la fenêtre : des bêtes féroces se trouvaient prés du lac. Elles y restèrent trois jours, puis s’en allèrent du paradis qui était devenu l'enfer. Nous le nettoyâmes. Nous entendîmes des tigres et nous allâmes nous cacher dans la cabane, lorsque nous vîmes deux filles et quatre esclaves qui hurlaient de peur. Une des deux femmes dit:
«Apportez-moi les deux jeunes filles!
-Où sont-elles? Répondit l'esclave.
-Dans la cabane.»
Et la femme leva la main en nous désignant. Nous eûmes très peur. Nous descendîmes et on nous emmena. Les quatre autres filles étaient nos amies, les deux femmes étaient aussi des esclaves sous les ordres d'un homme. Il nous ordonna de construire un canoë afin de pouvoir repartir.
Quant nous eûmes fini, il s'en alla avec le canoë. Et nous nous retrouvâmes à huit, nous décidâmes de construire un bateau pour rentrer. Mais il nous fallait du bois. Il nous en restait. Nous décidâmes de nous relayer : pendant que quatre dormaient, les quatre autres construisaient le bateau. La construction fut rapide, nous montâmes dans le bateau et nous partîmes. Il restait trois kilomètres et le bateau se fendit en mille morceaux, par chance, nous avions des rames et quelques planches qui nous servirent de radeau, et des requins qui tournaient autours de nous. Quand nous arrivâmes en Bretagne nous fûmes accueillies comme des héroïnes.
Longtemps après elles se souvenaient encore de leurs multiples aventures.
Kassandra