Les Fleurs magiques

Un jeune homme prénommé Jack habitait dans le sud de la France à côté de la mer. Il était grand, brun aux yeux marron foncés, il était très beau, intelligent, gentil et il n’avait peur de rien. On aurait dit un aventurier avec ses vêtements marron, simples. Il était médecin.

Un jour, Jack alla faire du surf à la mer, qui était de bonne température. Il se mit sur sa planche et partit surfer sur les vagues. Il aperçut à quelques mètres devant lui une gigantesque vague ravageant tout sur son passage ! Il vit des surfers tomber à l’eau et des personnes s’engouffrer sous la vague. Jack se dit que cela allait être son dernier souffle. La vague prit le surfer sur sa course, et Jack n’arriva pas à se sortir de ce ravage. Il s’évanouit pendant un certain instant, qui dura une éternité pour lui.

Le naufragé était maintenant sur une île, il se trouvait au bord de l’eau. Jack ne se souvenait de rien, depuis le moment où la vague l’avait emporté. Il prit le temps de se réveiller, et il alla sur une colline pour explorer la terre où il vivait désormais. Jack s’assit sur un rocher, au-dessus de la colline.

L’aventurier vit au premier regard cette forêt et cette végétation qui prenaient presque toute la place de cette Terre. Il n’y avait ni vent, ni pluie, le ciel était illuminé par le soleil. A présent, son regard se portait vers la plage, la mer bleue comme le ciel et le sable scintillant comme des diamants. Il regardait les arbres et le sol, il pouvait voir des singes sauter d’arbres en arbres grâce à des lianes. L’explorateur pouvait aussi apercevoir des ombres d’animaux. Les oiseaux chantonnaient et le bruit des vagues qui tapaient contre les rochers se faisaient entendre. Il vit une grotte pas très loin de lui.

Il commençait à faire froid alors Jack se dit que cette grotte pourrait le garder au chaud quelques temps. Il passa une forêt puis un petit ruisseau d’eau et enfin un chemin sombre. Il entendit des bruits et vit des ombres d’humains, c’était des indiens. Ils étaient une dizaine, ils avaient des torches dans les mains, sur leurs visages étaient dessinés des points noirs et des schémas représentant des choses pour eux. Ils avaient l’air méchant. L’aventurier essaya de se cacher mais une rose le piqua, il eut une douleur et cria. Une horde d’indiens s’approchait de lui et voulut l’enlever pour le mettre dans une cage. Le naufragé se dit qu’ils voulaient l’emmener parce qu’il était inconnu. Il fit comme s’il venait de mourir pour que les indiens ne le prennent pas. Quelques instants plus tard, l’aventurier partit se cacher dans la grotte qu’il avait aperçue avant de faire la rencontre des indiens.

L’endroit où il se trouvait était sombre et des bruits de chauve-souris pouvaient se faire entendre à certains moments. Enfin, les indiens étaient partis alors le médecin s’enfuit de sa cachette et partit dans un petit chemin étroit où tout au fond on voyait une étincelante lumière. Il se trouvait à la moitié du chemin, il faisait très chaud alors pour ne plus ressentir cette désagréable sensation il courut pour avoir de l’air frais.

Une autre épreuve plus dangereuse l’attendait à la fin de son parcours. L’aventurier passa une passerelle au-dessus de lave brulante, il faillit tomber mais il se retint de toutes ses forces. Au bout de ce chemin aventureux, une jeune femme se trouvait là, assise sur une ruée de pierre. Elle le regardait faire son périple.

Il alla la voir et lui demanda son prénom, elle répondit :

« Je m’appelle Iris ou Irma je ne m’en souviens plus à cause de l’accident que j’ai eu avant d’arriver sur cette île mystérieuse !

- Un accident ?! Tu es arrivée comment?

- Oui ! je suis arrivée par la mer me semble-t-il. Pourquoi ?

- D’accord, je suis arrivé de la même façon que toi. Je peux t’appeler Iris ?

- Oui si tu veux ! »

Le jeune homme regarda d’un peu plus près la jeune femme, elle était vêtue de vêtements en feuilles vertes, elle portait autour du cou un collier en coquillages qu’elle avait fait et sur sa tête une couronne s’il trouvait. Une couronne en fleurs et en végétaux prenant des mèches de ses splendides cheveux bouclés bruns mat. Ses yeux noisette pétillaient comme des grains de sel. Dans ses yeux, nous pouvions voir l’amusement mais aussi la solitude et la tristesse. Cela faisait plus d’un an qu’elle vivait seule dans cette île déserte.

La jeune femme trouva un endroit pour sortir de cette grotte, Jack la suivit. Iris expliqua à Jack ce qu’elle avait observé durant sa venue sur cette Terre. La belle Iris avait remarqué un endroit de l’île où aucun animal ne s’était aventuré. C’était un endroit sombre, un endroit où le soleil n’avait jamais fait apparition. Une petite cabane était posée au sol qui celui-ci était noir comme si un volcan avait fait irruption et que la lave avait coulé contre le sol pendant longtemps. Iris avait vu avec ses jumelles, qu’elle avait volé aux indiens, une inscription sur la porte de l’entrée de la maison. A cause des dégâts qui s’étaient produit auparavant des lettres s’étaient effacées. « Labo atoir S ient iqu  » ; ce qui donnait, évidemment, « Laboratoire Scientifique ». Tout cela intriguait Iris et le médecin.

La jeune femme eut l’idée de partir voir ce côté de l’île avec Jack, pour savoir ce qui se trouvait dans ce Laboratoire. Le naufragé était tout à fait d’accord avec cette idée. Tous les deux coururent pendant plus d’une demi-heure, ils arrivèrent enfin à l’entrée de la maison. L’aventurier tourna la poignée et d’un coup, du sable tomba sur Jack. C’était le premier piège. Iris et le jeune aventurier poussèrent la porte et entrèrent dans la maisonnette des chauves-souris en sortirent. Jack et Iris continuèrent d’explorer le laboratoire. Ils virent des bureaux où se trouvaient des microscopes cassés et des bols de sérum vides. Jack vit une porte grise, il était écrit : « Anecdotes Ne pas ouvrir ! » Cette fois, Iris ouvrit la porte, la porte grinça mais aucun piège ne se dévoila.

Les deux personnes étaient devant des milliers de fleurs aussi grosses et aussi jolies que toutes fleurs existantes dans le monde réel. Ces fleurs rares mélangeaient plusieurs sortes de fleurs, des roses avec des orchidées et des tulipes. Sur chaque fleur une étiquette était accrochée sur le papier qui les entourait pour les protéger, cette étiquette disait que ces fleurs soignaient des gens contre des maladies dangereuses. Les fleurs pouvaient enfin servir à faire quelque chose de bien pour les humains et l’humanité. Les deux scientifiques prirent toutes les fleurs et les mirent dans des sacs. Ils partirent vers la plage pour construire un petit navire. Chaque bout de bois solide, chaque objet trouvé, pouvait les aider à faire leur navire. Le naufragé attacha les bouts de bois avec de la ficelle et d’autres objets encore et Iris construisait la voile pour pouvoir naviguer. Iris demanda à Jack qu’elle était son travail dans la « vraie vie » s’il s’en souvenait.

« Je suis médecin ! et toi ?

- Moi, je crois que… Je suis MEDECIN !!

- Quelqu’un nous a fait venir tous les deux, des médecins, pour trouver ces fleurs miracles !!

- Whaaa !

- Bon rentrons maintenant, allons-y pour sauver des milliers de personnes atteintes d’une maladie !

- Oui, au plus vite !! »

Jack et Iris partirent de l’île, surexcités à l’idée de sauver des vies. Quelques temps plus tard, ils arrivèrent sur la terre ferme et allèrent donner les fleurs magiques à l’hôpital. Les deux héros firent leur vie ensemble, heureux et amoureux. Longtemps après, Jack et Iris se souvenaient encore de leurs multiples aventures.

Léna F.