Les aventures du capitaine Ja

Les aventures du capitaine

Jack Marquez

 

         Au quinzième siècle, le prénommé Jack Marquez était le pirate le plus redouté de tous, ce dernier était recherché par toutes les armées des Caraïbes, accompagné de son bras droit, Lary, de son père, Johny Marquez ainsi que de son équipage. Tous voguèrent sur les mers les plus dangereuses, pillèrent les grands royaumes et détruisirent tout sur leur passage. Lors d’un vol, un des moussaillons s’était fait tué, c’était le frère de Lary. Jack avait empêché ce malheureux d’aller sauver son cadet, car lui aussi aurait était assassiné pendant ce sauvetage ; Lary était très rancunier, alors, depuis ce jour, il essaya d’établir une vengeance.

         Cela faisait cinq longues années que Lary attendait pour assouvir sa vengeance, et pour lui, ce serait une victoire qu’il apprécierait fortement. Malgré que ce dernier était le bras droit Jack, le capitaine Marquez avait toujours une certaine méfiance pour son conseiller, même s’il lui accordait en partie sa confiance. Enfin, lorsque le navire accosta dans un port, Jack Marquez alla s’enivrer dans une taverne pendant que les moussaillons ravitaillaient le navire de provisions. Lary profita de l’opportunité qu’il avait entre ses mains pour commencer à mettre au point sa rétorsion contre son capitaine : sa riposte était de monter une mutinerie contre Jack Marquez. Quand le capitaine revint au navire, ils reprirent le large, même si Jack était éméché il remarqua le comportement de Lary et à vrai dire cela l’inquiétait un peu.

         Après des jours de vogue sur les vagues déferlantes, un des matelots aperçut une île funèbre et maussade avec une végétation dense mais fanée. Le plus étonnant était de gros nuages obscurs qui projetaient des éclairs foudroyants. Lorsque le capitaine contempla la terre qu’il venait de découvrir, il avait eu un mauvais pressentiment, il avait l’estomac noué, mais sa curiosité le poussait à aller sur cette île. En même temps, quelque chose d’autre lui disait de ne pas y aller. Lary semblait heureux de ce qu’il avait devant ses yeux, il se disait : « quoi de mieux comme endroit pour abandonner son capitaine ! » ; Jack remarqua l’expression qu’il avait sur son visage et cela le troublait beaucoup. Pendant la nuit, Lary organisa une réunion afin d’expliquer l’ingéniosité de son plan pour mener à bien sa vengeance.

         Le lendemain à l’aube, le capitaine organisa une expédition sur l’île qu’il redoutait tant, Jack Marquez et cinq de ses matelots embarquèrent sur une chaloupe en direction de la terre qu’ils avaient découverte il y avait peu de temps. Avant d’arriver sur l’archipel, ils avaient faillit se faire foudroyer pas la foudre qu’éjectait les nuages, et, par malchance ils étaient tombé à l’eau, et ces derniers durent finir la traversée à la nage. Enfin, dés que le dirigeant de cette expédition ainsi que ses disciples arrivèrent à terre, ils regardèrent autour d’eux et tous restèrent sur leurs gardes. Un peu plus chaque secondes, ils s’enfonçaient dans la forêt sombre et lugubre. Il n’y avait plus aucune feuille sur les branches d’arbre, les troncs d’arbres était ornés de trous, et dans ces orifices, on trouvait des insectes que l’on ne peut imaginer ; cela rendit nauséeux le capitaine de l’expédition et ses compagnons.

         Pendant ce temps, sur le navire, Lary expliqua à l’équipage comment allait se dérouler l’insurrection, quand les explorateurs revinrent au navire.
Sur l'île, les explorateurs continuèrent la visite dans des lieux improbables. Lorsque le tour de l'archipel fut terminé, le capitaine ainsi que ses compagnons rentrèrent au vaisseau. Jack Marquez monta le premier sur le bateau, suivi de ses acolytes. Il marcha sur le pont jusqu'à ce que son équipage l'entoure les armes sorties. C'est à ce moment-là que Lary arriva et se mit en face du capitaine Marquez.

« - Au final, je vais l'avoir ma vengeance, celle que je convoitait depuis pas mal de temps. Dit-il d'un ton satisfait.

- Je t'ai sauvé la vie, et c'est comme cela que tu me remercie, en montant une mutinerie contre moi! Lança-t-il faussement étonné.

- Sauvé la vie, tu m'as empêché de sauver mon frère, la seule famille qu'il me restait! Cria-t-il.

- Donc, par déduction, je suppose que l'île que j'ai déjà visitée va être ma future demeure et, si je ne m'abuse, tu savais que cette terre existait et tu m'as emmené jusqu'ici pour m'y abandonner. Répliqua-t-il sûr de lui.

- Ton sens de la déduction ne t'a jamais trahi. Lança-t-il.

- Merci! Rétorqua-t-il, étonné. »

         Lary ordonna de faire ligoter Jack, de le faire monter sur une planche. Quelques matelots plantèrent leurs épées dans le dos de notre futur naufragé. Le capitaine Marquez avança d'un pas hésitant sur la planche instable ; un vieux loup de mer trouva que Jaques prit trop de temps, alors il décida de faire basculer la latte ce qui fit tomber Jaques. Tout l'équipage rit, ainsi Lary. Le maître Marquez remonta à la surface et regarda son navire s'éloigner peu à peu dans le brouillard épais. Jaques nagea jusqu'à l'île, lorsqu'il arriva à terre, ce dernier s'allongea sur le sable et pendant trois jours et trois nuits il resta étalé au sol à revoir les dernières images, les dernières paroles qu'il avait entendu. Le quatrième jour, où le soleil se trouvait au plus haut dans le ciel, il entendit une voix grave.

         Lorsque Jaques entendit cette voix, il se dit qu'il était devenu fou, la voix continua de l'appeler mais il ne fit aucun geste. Quand la voie s'arrêta, le naufragé s'assit sur le sable beige doux et léger, traça un cercle autour de lui, car malgré que ce soit un pirate, ce dernier avait quelque connaissance sur les bienfaits de la magie. Dans ce cercle, celui-ci y était assis en tailleur et méditait : quand il était enfant, sa mère pratiquait certains rituels. Un jour, Jaques entendit une voie semblable à celle qu'il avait saisi aujourd'hui. Il alla le répéter à sa maternelle, elle lui conseilla de faire un cercle imaginaire ou non et de se mettre à l'intérieur assis en tailleur. Une fois que cela avait été accompli, il fallait ne plus penser à quoi que ce soit, et s’il entendait encore cette voix, cela voulait dire qu'il était fou. Mais s'il n'entendait rien, cela voulait dire qu'elle existait vraiment et que lui-même n'était pas fou ; cela était juste.

              Nassima.

 

Fin manquante.