L’ile maudite

L’île maudite

 

            La tempête continuait encore et encore mais le bateau nommé Titanic, essayait de la contrer, le capitaine Smith, lui, n'y voyait rien à cause de la brume. Un personnage était sur le bateau, Siegfried, il était courageux et rusé et était sur le point d'essayer de scruter l'horizon.     A peu près à la pleine lune, Siegfried sonna l'alerte :

«Un rocher ! Un rocher !!»

            C'était vrai, c'était vraiment un rocher. L'avant du bateau l'heurta, provoquant un bruit assourdissant qui réveilla presque tous les passagers. Réveillés aussitôt, ils devinrent sourds à cause du bruit et ils périrent. Sur le coup du choc, se scalpant contre diverses choses, pratiquement tous les passagers périrent dans le choc sauf un : Siegfried. Le bateau, en heurtant les rochers s'échoua sur l'île. Sur l'île, Siegfried essaya de se trouver un abri sans oublier cette nuit froide, si froide que...

            Dans cette nuit froide, il y eut des yeux rouges qui vous fixent et qui se disent « que va-t-il faire? ». Oui, qu’est-ce que je vais faire, se dit Siegfried, vais-je les tuer où bien les chercher, les traquer ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais c’est que je vais devoir me construire une arme défensive et offensive à la fois. Je pris du bois et un caillou bien pointu, quelques bricoles dans le bateau pour faire mon abri. La nuit tombait. Dans mon abri, je scrutais ces yeux pour les traquer.  Mon projet n’avait pas commencé, - le projet de me construire un radeau ou un bateau à partir des pièces du paquebot- mais d’abord il fallait que je fasse quelque chose, que je traque ces bêtes. Je partis à leur recherche, j’en vis un, deux, puis trois, quatre. Ils étaient des milliers. Je lançai un bruit qui les fit partir aussitôt. Je mis un filet sous de multiples feuilles et me cachai en attendant leur retour. Quand ils furent revenus sur le filet, j’avais un caillou à portée de main et m’acharnai sur la corde déclenchant le filet mais  soudain…

            Les singes féroces esquivèrent le filet et sautèrent sur moi, m’attachèrent les bas et les jambes sur une grande pierre plate coupée en deux et m’écartelèrent grâce à leur système. Ils étaient tous là, y compris le chef qui me fixait d’un air terrifiant. La douleur m’envahit, mais aussitôt les lianes cédèrent et je me détachai. Ils étaient tous là, à cracher comme des chats, mais je pris une pierre où plutôt mon arme défensive et offensive et m’acharnai sur eux. Après de multiples coups tentés il ne resta plus rien, plus que des…Arghs… Je me réveillai souffrant d’un horrible mal de tête en face du chef. Avec mon bâton dans sa main et il me visa,  je le repris et lui relança et lui ne la vit pas passer et fut atteint directement dans la tête.

            Une fois mon assaillantvaincu, il me fallait ce radeau. Je pris quelque pièces et me mis au travail… FINI !!!!

            Je pouvais m’enfuir de cette île maudite.

                                        Killian.