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L'Arrivée sur une île

            Tout d'abord, je vis de la fumée noire sortir de mon avion. Je m'éjectai précipitamment en parachute et il retentit un grand boum!!! Je tombai dans l’eau. Je remontai à la surface et rejoignis la plage à la nage.

            Là, je vis un paysage splendide avec des cocotiers, du sable chaud et brillant comme des étoiles. Je me retournai et je vis mon avion, dans cette eau qui était remplie de petits poissons. J’aperçus derrière moi, une énorme forêt avec d'immenses arbres et de très belles feuilles de toutes les couleurs.

              J'entendis des bruits bizarres! En repensant à tout ce que j'avais vu, je croyais devenir fou ou avoir rêvé. Il fallait décidément que je parte d'ici.

          Je me rendis dans la forêt où je vis un énorme tigre, avec des griffes acérées, des dents longues comme des couteaux de boucher. Son pelage doré avait l'air doux. J'approchai doucement de la bête. Elle se retourna et me fixa avec une brebis dans la bouche. Elle me bondit dessus. Je pris la fuite, le tigre à mes trousses. Je sautais dans l'eau et la bête ne me rejoignit pas. J'en déduisis que l'animal avait peur de l'eau. Je pris de l'eau dans mes mains et lui lançai dessus. Il prit la fuite. Il fallait que je prenne de quoi faire fuir ce tigre.

          Il me fallait de quoi couper du bois. Je pris un bâton et une pierre que j’assemblai avec des lianes. J'en fis une lance. Soudain, je sentis que je commençais à avoir faim.

          Je sortis de la forêt pour aller pêcher. Je pris ma lance et je fis une brochette de poissons. Après avoir fait un feu, je dégustai mon festin. Je bus de l'eau de mer, elle était un peu salée. Et là une idée me vint : il fallait que je construise un radeau pour m'enfuir. J'avais tout sauf une voile. Je pris ma lance et je décidais d'aller chasser le tigre pour prendre sa fourrure, cela me permettrait de faire la voile. Je montai dans un arbre. Je vis la bête. Pour mettre fin à ses jours, je décidai de lui fendre le crâne. Cela était horrible mais c’était nécessaire pour moi. Je sautai sur l'animal et «crac» son crâne se brisa. Je le dépeçai et je partis vite sur mon radeau.

          Il se mit à pleuvoir, une tempête se préparait. J'accrochai la fourrure je m’élançai. Une fois en mer, je m'évanouis. Lorsque je me réveillai, je vis ma famille. Ma femme me demanda comment cette aventure s'était déroulée. Je lui dis que je parlerai de cela devant une bonne assiette de pâtes avec de l'emmental. Après cette journée, je décidai d'écrire un livre à propos de cette aventure et le titre serait «Survivre pour la vie».

          Aubin

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